Se positionner sur le web

Adressons-nous à l’éléphant dans la pièce avant de parler d’autre chose. La toute dernière mise à niveau publique officielle du PageRank a eu lieu en décembre 2013. En octobre 2014, John Mueller de Google a confirmé ce que nous avions soupçonné d’être étendu: le Yahoo Page de la barre d’outils était officiellement mort. Le dernier clou du cercueil est arrivé deux ans plus tard lorsque Google a retiré Toolbar PageRank de son navigateur Internet. Beaucoup de gens ont l’opinion quand ils voient des «nouvelles» à propos de PageRank en 2019.intelligemment, et c’est ainsi que beaucoup de gens se contentent du contenu, ce qui permet à PageRank de conserver un vestige du passé. Malgré le fait que la barre d’outils PageRank ait disparu, Gary Illyes de Google a prouvé en 2017 que PageRank * restait un signal de classement (même s’il est certainement l’un des nombreux moteurs utilisés par les moteurs de recherche). * (Pour vous protéger de l’incertitude, j’emploierai l’expression «Toolbar PR» pour faire référence à la version désormais inexistante de la communauté et «PageRank» pour parler de la métrique de Google en tant que moment présent.) Nous avons d’autres données que Yahoo et Google reste à utiliser et à mettre à jour PageRank derrière le rideau: en avril 2018, ils ont mis à jour leur brevet PageRank et en ont déclaré la continuation. Ce n’est pas parce que Google a un brevet qu’ils l’utilisent bien sûr. Cependant, il existe suffisamment de preuves pour suggérer que le classement PageRank existe toujours et qu’il reste un indicateur important, même si le grand public ne peut plus visualiser son score de 1 à 10 sous la barre d’outils PR. Cela ne veut pas dire que nous devrions l’ignorer complètement ou prétendre que cela n’a pas d’impact sur les classements, même si pageRank est loin d’être la seule mesure qui compte. Ce qui nous amène sur le sujet disponible: Si nous savons que le PageRank est toujours un signal de classement mais que nous ne savons pas quels changements Google apporte à leur algorithme ni quel est l’impact de PageRank en 2019, que pouvons-nous faire à ce sujet? C’est ici que les SEO appartiennent normalement à l’un des deux camps. Vous la rejetez tout en vous concentrant spécifiquement sur les paramètres que vous êtes en mesure de déterminer correctement, vous savez, amélioreront votre site Internet (auquel cas, cet article informatif n’aura pas une grande importance et ne sera pas utilisé pour vos besoins). Vous utilisez une nouvelle métrique en corrélation étroite avec PageRank, qui peut vous aider à faire des suppositions éclairées et à optimiser ce fait, pour indiquer que nous réalisons que nous existons toujours (par lequel, continuez à lire!). Il n’y a pas de remplacement one-to-1 pour Toolbar PR avec le moyen infaillible de calculer le PageRank. Je n’ai pas l’intention de vendre de l’huile essentielle de serpent et de vous expliquer qu’une telle chose est présente. Alternativement, cet article vous proposera un récapitulatif (très simple) de l’historique de PageRank, vous indiquera qu’il peut être (ou a été) calculé et, par la suite, Agence SEO Lille une discussion sur la recherche qui établit le lien entre ces différents classements et solutions. Nous allons conclure avec quelques idées simples qui devraient vous aider à améliorer votre PageRank (en théorie, à tout le moins). Sautons dans l’arrière-plan (doux et court) de PageRank. Qu’est-ce que c’est exactement PageRank? Si vous connaissiez déjà très bien le référencement au cours des dernières années, vous reconnaîtrez probablement Toolbar PR. La barre d’outils de relations publiques nécessitait le plus grand défi derrière les scénarios PageRank condensé et métrique en un pointage de crédit n ° 10 qui était clair et compréhensible: plus votre variété est grande, plus votre page est grande. Qu’est-ce que c’est exactement PageRank? Selon la version TL; DR, c’est un moyen pour Google de classer les pages Web en fonction de leur importance, en fonction de la qualité et du nombre de liens entrants d’une page. Alors, supposons que votre page ait un PageRank de 10/10 et inclut des liens vers cinq autres pages. Selon la formule originale de Google, 85% du PageRank de votre page serait divisé entre chacune des pages auxquelles vous avez accédé. 8,5 / 5 = 1,7. Ainsi, chaque page recevrait un PageRank de 1.7 / 10 de votre page. (Ceci est vraiment un examen extrêmement simple de la façon dont le PageRank a été mesuré. Si vous êtes intéressé par les calculs, je vous conseille de préciser le fonctionnement de PageRank de Dixon Jones. C’est un passage incroyable.) Autant dire que lorsque les référenceurs parlent sur la «qualité d’un lien» ou «autorité de lien» ou «lien de jus» ou utilisez des expressions clés telles que «tous les backlinks ne sont pas identiques», cela peut être un élément de ce dont nous parlons. Bien sûr, Google a beaucoup changé quant à la précision avec laquelle les pages sont classées au fil du temps. Il pourrait être idiot de supposer que PageRank n’a pas connu une progression identique. Néanmoins, il est évident que le concept essentiel et les objectifs sous-jacents de PageRank ont ​​continué à être relativement continus au fil du temps.

Pour plus de détails sur Formation referencement naturel Lille visitez notre site Web.

Pas de rivalité Clinton-Trump

« Je ne cours pas, mais je vais continuer à travailler, à défendre et à défendre ce que je crois », a déclaré Mme Clinton à la chaîne de télévision News 12 de New York. Il était généralement prévu que Mme Clinton deviendrait la première femme présidente des États-Unis, avant la défaite choquante de M. Trump en tant que candidate démocrate en 2016. Interrogée par News 12 si elle se présenterait de nouveau à une fonction publique à l’avenir, elle a déclaré: « Je ne ne le pense pas.  » L’entretien d’embauche est la toute première fois que Mme Clinton réfute définitivement l’hypothèse qu’elle pourrait éventuellement confier à nouveau M. Trump en 2020. Elle a expliqué qu’elle avait parlé à quelques-uns des candidats déclarés aux perspectives démocratiques pour 2020. « J’ai informé chacun d’eux, n’acquérez rien du tout sans considération », a-t-elle mentionné. Mme Clinton a été la première femme candidate à la présidence à réunir un grand rassemblement américain dans l’histoire du pays. Elle était accusée de s’appuyer excessivement sur de riches donateurs, trop proche de Wall Street et hors de contact avec les électeurs plus jeunes, bien que son accession à la haute direction soit largement considérée comme quasi garantie. Elle a été pillée sans relâche par M. Trump, qui a encouragé des foules de gens au sujet du processus de promotion pour chanter « Enfermons-la ». Sa défaite a encouragé une période de recherche spirituelle pour la célébration démocratique, qui se prépare maintenant pour obtenir une compétition principale ouverte qui a déjà vu plus de 10 concurrents déclarer un exploit. Sénateur du Vermont et deuxième finaliste démocrate en 2016, Bernie Sanders est le dernier démocrate à avoir mis son chapeau dans la bague en diamant. La reconnaissance du nom et la base de soutien de l’un des membres du parti détenus par M. Sanders l’ont catapulté à l’avant de votre sac. Il rejoint le sénateur du Massachusetts Elizabeth Warren, qui a été le premier titre important à déclarer une œuvre, ainsi que le sénateur du New Jersey, Cory Booker et la sénatrice de Californie, Kamala Harris. Kirsten Gillibrand, sénatrice de la Grosse Pomme; Le sénateur du New Jersey, Cory Booker; La sénatrice du Minnesota, Amy Klobuchar; le maire de San Texas et Antonio, Julian Castro; ainsi que le maire d’Indiana and Bend, Pete Buttigieg, qui semble être la toute première personne ouvertement homosexuelle à se produire pour le rôle de leader. La plupart des labels dont on parle le plus doivent toutefois déclarer leurs objectifs. L’ancien vice-directeur général, Joe Biden, envisage un travail. Il apprécie la reconnaissance de la marque la plus efficace du pays et les experts affirment qu’il ferait un bond aux autres candidats pour atteindre le sommet des sondages précédents s’il devenait candidat. Beto O’Rourke, un ancien membre du Congrès de Tx qui avait suscité l’intérêt du pays alors qu’il organisait une compétition serrée entre le Sénat et le républicain en exercice Ted Cruz, a gardé les fans et les donateurs probables en attente depuis qu’il pèse sur ses alternatives. M. O’Rourke a présenté au Sénat une stratégie inhabituelle, publiant des mises à jour inédites de sites Web sociaux alors qu’il parcourait les 254 comtés à l’intérieur de l’express, alimenté par des milliers de dollars en contributions modestes.

The Leader Macron has recently get to be the most unpopular from the Presidents of France.

Emmanuel Macron a déclaré qu’il aimerait réglementer comme le seigneur romain Jupiter, en restant plus haut que la mêlée des problèmes quotidiens du gouvernement. Mais moins de quatre-vingt-dix jours après le début de son mandat au bureau du président français, le montant de ses sondages montre à quel point il est mortel. Un sondage organisé par le Royaume-Uni, YouGov, a déclaré que le statut d’autorisation du jeune dirigeant avait diminué de 7 positions, passant de 43% à 36% au cours du mois de juillet. Le sondeur français Ifop a observé la même baisse au cours de la même période, notant que: «Hormis Jacques Chirac en juillet 1995, un président récemment élu n’a jamais vu sa réputation diminuer autant au cours de l’été juste après la sélection.» La baisse de popularité est à la baisse. En fait, le mois de juin a été bien différent de celui où chacun des Macron, accompagné de son fantastique Premier ministre, Édouard Philippe, avait découvert que leur taux d’approbation grimpait de 62 à 64% et de 55 à 64%, en conséquence. Cependant, la mesure de reconnaissance n’est pas totalement au-delà de la norme. L’ancien directeur, François Hollande, a aimé l’acceptation de 56% avec exactement la même période de sa présidence; son prédécesseur, Nicolas Sarkozy, a été augmenté, se tenant debout à 66%. Ce qui est peut-être le plus inhabituel est simplement le temps écoulé depuis que Macron a été accepté. Sa présidence a profité de nombreuses améliorations au début, notamment de réunions importantes avec des dirigeants étrangers, tels que le directeur général Trump (tous deux impliqués dans une poignée de main désormais bien connue, que Macron a ensuite acceptée, avait pour but de révéler qu’il ne ferait aucune concession). et le Russe Vladimir Poutine (au cours duquel Macron a publiquement accusé le multimédia européen d’être «des agents d’influence et de propagande»). Le récit diplomatique de Macron (la France figurait au premier rang des forces les plus douces au monde dans une enquête annuelle dépassant les deux États-Unis et la Grande-Bretagne) a été de nature à réduire les problèmes à la maison. Le politologue de l’Ifop Jérôme Fourquet a expliqué que le public français français avait suscité l’engouement pour la nomination de Poutine aux propos de Trump et de Poutine. Aucun des deux innovateurs n’est préféré. Mais il a également attribué la baisse de popularité de Macron à son intention de réviser le code du travail du pays. En plus de son budget proposé de 850 millions d’euros, le transfert du budget de protection de cette année a provoqué la démission de Common Pierre de Villiers, le chef de l’armée française. «Il a milité sur l’idée de perdre du poids pour le statut de français et de le rendre finalement plus compétitif», m’a confié le Dr David Lees, spécialiste du Warwick College spécialisé dans la politique nationale française. « Ces choses vont confirmer leur impopularité, car elles impliquent un grand bouleversement de la manière dont la France organise son organisation ». Ce bouleversement consiste notamment à réduire d’un tiers le nombre de législateurs français, à minimiser les investissements publics et à employer une variété de marchés. réformes financières agréables (comme les nouvelles politiques qui donnent aux employeurs une plus grande flexibilité d’utilisation et de possibilité de chauffer les foyers).

Trump attaque l’Europe sur Google

Le chef de la direction américaine, Donald Trump, a critiqué la détermination des Européens en matière de surveillance de la concurrence pour Yahoo et Google 5 milliards de dollars mercredi, déclarant que l’UE avait « entrepris une bonne chose à propos des États-Unis ». Il a composé sur Flickr jeudi: « Je l’ai mentionné, l’Union européenne vient de donner 5 milliards de dollars à nos super organisations, les moteurs de recherche, mais ils ont tout de même bénéficié des Etats-Unis, pas très longtemps! » Trump semblait utiliser l’amende antitrust comme un outil dans son conflit d’achat et de vente en cours en utilisant le Western Union. Mercredi, il est en danger de « représailles incroyables » contre l’UE sauf si le bloc accepte des concessions industrielles considérables. Il est corrélé avec la sélection du commissaire européen à la concurrence d’accord Google la plus grande peine antitrust nivelé sur une entreprise, au-dessus de son abus du système d’exploitation mobile Android os proéminent. Margrethe Vestager a expliqué que Yahoo avait utilisé son application de téléphonie mobile préférée pour protéger sa place de recherche. La recherche a commencé en 2015, pré-en ligne datant de la présidence de Trump de plus d’une saison, et n’est pas immédiatement pertinent pour les affaires entre les États-Unis et l’UE. Vestager a été interrogé sur Trump mercredi, en raison du contexte d’anxiété croissante impliquant l’UE et les États-Unis. Un journaliste a offert à Trump, qui a déclaré le mois dernier au directeur des paiements de la Commission de l’Ouest, Jean-Claude Juncker, lors du sommet du G7: «Votre femme aux impôts déteste les Etats-Unis. Vestager a plaisanté en disant que l’assertion n’était que 50% réelle. « En fait, je contribue à la fiscalité et que je suis une femme dans l’ordre qui est tout à fait raison », elle a mentionné, mais inclus: « J’aime les États-Unis. » Trump intensifie sa rhétorique contre le syndicat, expliquant l’UE comme un «ennemi» des États-Unis. Trump a imposé des tarifs douaniers sur les importations de métaux et d’aluminium en provenance de l’UE, qui envisage d’étendre ces droits aux automobiles importées. Le leader devrait mener des pourparlers avec le directeur des paiements de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, à la propriété blanche après ces 7 jours, où il pourrait choisir d’afficher à nouveau les moteurs de recherche.

La motivation en question

Quand les entreprises ont souvent de la peine généralement à imposer de la motivation et de la cohésion à leurs salariés, l’incentive semble être un excellent remède. Avant tout, quelle définition peut-on donner à l’incentive ? L’incentive, c’est l’art de inciter à se dépasser des équipes. Son objectif est de unir les salariés, de les pousser pour qu’elles soignent leurs résultats. ainsi que de faire en sorte que les employés n’éprouvent pas l’envie de chercher du travail ailleurs. Qu’il se développe lors d’un challenge commercial ou d’une excursion à l’étranger, l’incentive est une aventure enrichissante aussi bien pour les salariés et l’employeur. Le challenge commercial reste cependant une solution bonne à prospecter pour réfréner la morosité apporté par la crise, et tout particulièrement pour prendre des parts de marché à la concurrence.

Un incentive réussi ne se borne cependant pas une simple activité : il doit participer à l’apparition d’un esprit d’équipe et convier tout le monde de participer, particulièrement via des animations créatives et collaboratives. Il apparaît de plus en plus essentiel que les employés s’habituent promptement à se connaître. En effet, la flexibilité progressive du travail fait que les employés sont en constant mutation. Ainsi il n’est pas inutile d’accélérer la création de liens et d’objectifs communs entre les personnes. Ceci s’ajoute au fait qu’avec l’apparition des échanges par virtuels, les gens se rencontrent moins et en toute logique se connaissent moins. Un incentive offre la possibilité d’améliorer la façon dont ils interagissent entre eux dans le cadre de leur activité. Terme générique en provenance de Grande Bretagne, l’incentive qualifie toute action encourageant des salariés ou à des équipes de se stimuler, en général en délivrant une dotation en échange d’une action effectuée. Il réunit les notions françaises de motivation et de stimulation. L’incentive est ainsi organisé par la direction pour ranimer la motivation de ses équipes, en vue d’accomplir des objectifs. « Un séminaire ou un stage incentive constitue certainement un coût, toutefois il peut s’avérer très productif en ce qui concerne la cohésion globale, d’atmosphère entre les employés et même de pacification sociale”, considère Raphael Dubois, directeur commercial de TTSystem International. Il faut distinguer plusieurs espèces d’incentive. Un des plus répandus dans les sondées est bien évidemment le challenge commercial. Le but de cet évènement est renforcement de la marge ou du chiffre d’affaire. Cependant c’est un exercice difficile, où il est préférable de veiller à ajuster les cadeaux selon groupe auquel on a affaire. Effectivement, les salariés n’ayant rien remporté peuvent se sentir encore plus marginalisés. Le risque est de casser la dynamique de groupe qui assure une équipe en générant l’apparition d’une « aristocratie » et de casser la motivation de certains des salariés. Une contre-performance, en somme ! Un autre type d’incentive est le voyage, dont le but est de permettre la cohésion des équipes en les positionnant dans une atmosphère particulier. L’utilité de choisir une destination tropicale et ensoleillée réside également dans l’aspect luxe de l’évènement. Lorsqu’il fait 9 ° en France, rien de plus agréable que de se rendre en Martinique où il fait plus de 25 °. Le cadre royal ou exceptionnel du voyage est important.
Les animations échafaudées dans ce cadre, de préférence collaboratives, contribuent ainsi aux salariés de mieux se connaître et de élaborer des liens qui n’auraient pu se tisser au sein de l’entreprise.
A charge par la suite de perpétuer au cours de l’année la flamme provoquée par l’incentive en réformant ses méthodes. En effet, si un événement incentive créatif peut rénover la bonne marche de l’entreprise, une transformation durable des rapports dans le travail ne pourra se faire que s’il est consolidé par un management qui favorise la création des espaces, des moments de créativité de la part des salariés. En conséquence, un incentive, qu’il prenne l’allure d’une activité créative ou d’un challenge commercial, ne sera effectivement fructueux que s’il est la continuation d’une culture globale prenant en considération l’inventivité des salariés.

Poutine est fier de ses agents

Le président russe Vladimir Poutine a fait l’éloge samedi des agents de renseignement clandestins, des « personnes pas comme les autres » dont le dévouement à la patrie est exemplaire. « Renoncer à sa vie, à ses proches et quitter son pays pour beaucoup d’années, en consacrant sa vie à la patrie, tout le monde n’est pas capable de faire cela », a déclaré l’ex-agent du KGB, 64 ans, dans des propos retransmis sur la chaîne publique Rossia 1. « Ce sont des personnes pas comme les autres, qui ont des qualités pas comme les autres, des convictions pas comme les autres, un caractère pas comme les autres », a-t-il estimé, précisant que son travail pour le service de renseignement extérieur à l’époque soviétique avait été lié « notamment au renseignement clandestin ». « Ce sont des personnes uniques. Je leur souhaite du bonheur et de la prospérité », a ajouté le président russe. Lui-même ancien membre du Service de renseignement extérieur (SVR) du KGB, Vladimir Poutine a été en poste à Dresde, en Allemagne de l’Est, alors au sein du bloc socialiste, entre 1985 et 1990, selon sa biographie officielle publiée sur le site du Kremlin. « Même avant de terminer ma scolarité, j’avais déjà envie de devenir agent de renseignement », avait confié M. Poutine dans cette biographie, précisant avoir fondé son opinion sur le KGB « sur la base des récits romantiques sur le travail des agents de renseignement ».

Insulte « bamboula »: le policier syndicaliste ne voulait « pas blesser des gens »

Jeudi soir, un policier syndicaliste a dérapé, sur le plateau de C dans l’air. Il a estimé que l’insulte « bamboula » était « encore à peu près convenable ». Il a ensuite présenté ses excuses.  Les propos de Luc Poignant, délégué syndical d’Unité SG Police avaient instauré une forte gêne, sur le plateau de C dans l’air, jeudi. Invité dans l’émission afin de participer à un débat sur les violences policières, une semaine après l’interpellation très violente de Théo à Aulnay-sous-Bois, le policier a dérapé, face à la journaliste Caroline Roux.     Son interlocutrice lui soumet le témoignage d’une jeune femme qui relatait avoir été « traitée de bamboula » et s’être fait « cracher dessus » par les forces de l’ordre. Réponse du syndicaliste: « La version, j’ai la même, je veux rester poli. Parce que les mots ‘bamboula’ (…) d’accord cela ne doit pas se dire, cela reste encore à peu près convenable ».    Contacté par plusieurs médias le soir même, le policier a présenté ses excuses. « Le mot convenable ne convient pas. Le terme de ‘bamboula’ est tout aussi condamnable de la part de mes collègues que lorsque nous sommes traités d’enculés de flic. L’un comme l’autre est parfaitement inacceptable », a-t-il déploré auprès de RTL. « Je présente mes plus plates excuses. On regrette à partir du moment où l’on peut blesser des gens. C’était absolument pas mon état d’esprit et ce n’est absolument pas l’état d’esprit de mon syndicat. Si on veut renouer les liens, ce n’est certainement pas en s’invectivant. Bien au contraire », ajoute Luc Poignant.    Jeudi soir, ses propos avaient déclenché la colère de son interlocutrice. « Non! », lui avait rétorqué Caroline Roux, lorsque le policier avait légitimé l’emploi de « bamboula ». « Enculé de flic, c’est pas convenable non plus », s’était justifié le syndicaliste. L’intervention de Luc Poignant, invité initialement par C dans l’air pour désamorcer la grogne actuelle contre les violences policières, a été largement critiquée par la suite. La vidéo de 30 secondes a été partagée plus de 13 000 fois en quelques heures.    Egalement contacté par France Info, le délégué Unité SG Police dit « comprendre l’emballement » que ses propos ont provoqué. « Je tentais de démontrer que pour renouer les liens dans ce contexte tendu, il fallait du respect provenant des deux côtés », assure-t-il.    Dans la soirée, le secrétaire général du syndicat, Yves Lefebvre, a indiqué à France Info qu’il condamnait les propos de son collègue, tout en lui apportant son soutien. « Il a eu un mot malheureux, mais je sais qu’il n’est pas raciste. Je vais mettre ses propos sur un coup de fatigue », a-t-il commenté auprès de France Info.     Le ministre de l’Intérieur a lui aussi fustigé les propos du policier syndicaliste. Dans un communiqué, Bruno Le Roux a insisté sur le fait qu' »en toutes circonstances, l’exemplarité, l’éthique, le respect des personnes et celui des valeurs de la République, doivent guider l’action et le comportement des forces de l’ordre ». Il ajoute: « Le lien de confiance entre les Français et les policiers et les gendarmes chargés de les protéger doit reposer sur une exigence absolue de respect mutuel ».    L’association SOS Racisme a, elle aussi, diffusé un communiqué, en réaction aux propos de Luc Poignant. Elle dénonce des paroles « intolérables » et « s’assurera que le syndicat Unité SGP Police prenne ses responsabilités de sanction immédiate » contre son auteur. Yves Lefebvre, le secrétaire général du syndicat, a pourtant affirmé qu’aucune sanction ne serait prise à l’encontre de son collègue.  Jeudi soir, un policier syndicaliste a dérapé, sur le plateau de C dans l’air. Il a estimé que l’insulte « bamboula » était « encore à peu près convenable ». Il a ensuite présenté ses excuses.  Les propos de Luc Poignant, délégué syndical d’Unité SG Police avaient instauré une forte gêne, sur le plateau de C dans l’air, jeudi. Invité dans l’émission afin de participer à un débat sur les violences policières, une semaine après l’interpellation très violente de Théo à Aulnay-sous-Bois, le policier a dérapé, face à la journaliste Caroline Roux.     Son interlocutrice lui soumet le témoignage d’une jeune femme qui relatait avoir été « traitée de bamboula » et s’être fait « cracher dessus » par les forces de l’ordre. Réponse du syndicaliste: « La version, j’ai la même, je veux rester poli. Parce que les mots ‘bamboula’ (…) d’accord cela ne doit pas se dire, cela reste encore à peu près convenable ».    Contacté par plusieurs médias le soir même, le policier a présenté ses excuses. « Le mot convenable ne convient pas. Le terme de ‘bamboula’ est tout aussi condamnable de la part de mes collègues que lorsque nous sommes traités d’enculés de flic. L’un comme l’autre est parfaitement inacceptable », a-t-il déploré auprès de RTL. « Je présente mes plus plates excuses. On regrette à partir du moment où l’on peut blesser des gens. C’était absolument pas mon état d’esprit et ce n’est absolument pas l’état d’esprit de mon syndicat. Si on veut renouer les liens, ce n’est certainement pas en s’invectivant. Bien au contraire », ajoute Luc Poignant.    Jeudi soir, ses propos avaient déclenché la colère de son interlocutrice. « Non! », lui avait rétorqué Caroline Roux, lorsque le policier avait légitimé l’emploi de « bamboula ». « Enculé de flic, c’est pas convenable non plus », s’était justifié le syndicaliste. L’intervention de Luc Poignant, invité initialement par C dans l’air pour désamorcer la grogne actuelle contre les violences policières, a été largement critiquée par la suite. La vidéo de 30 secondes a été partagée plus de 13 000 fois en quelques heures.    Egalement contacté par France Info, le délégué Unité SG Police dit « comprendre l’emballement » que ses propos ont provoqué. « Je tentais de démontrer que pour renouer les liens dans ce contexte tendu, il fallait du respect provenant des deux côtés », assure-t-il.    Dans la soirée, le secrétaire général du syndicat, Yves Lefebvre, a indiqué à France Info qu’il condamnait les propos de son collègue, tout en lui apportant son soutien. « Il a eu un mot malheureux, mais je sais qu’il n’est pas raciste. Je vais mettre ses propos sur un coup de fatigue », a-t-il commenté auprès de France Info.     Le ministre de l’Intérieur a lui aussi fustigé les propos du policier syndicaliste. Dans un communiqué, Bruno Le Roux a insisté sur le fait qu' »en toutes circonstances, l’exemplarité, l’éthique, le respect des personnes et celui des valeurs de la République, doivent guider l’action et le comportement des forces de l’ordre ». Il ajoute: « Le lien de confiance entre les Français et les policiers et les gendarmes chargés de les protéger doit reposer sur une exigence absolue de respect mutuel ».    L’association SOS Racisme a, elle aussi, diffusé un communiqué, en réaction aux propos de Luc Poignant. Elle dénonce des paroles « intolérables » et « s’assurera que le syndicat Unité SGP Police prenne ses responsabilités de sanction immédiate » contre son auteur. Yves Lefebvre, le secrétaire général du syndicat, a pourtant affirmé qu’aucune sanction ne serait prise à l’encontre de son collègue.

Un film de protection

Vu la peur que semblent avoir certains habitants des ZSP de la police, c’est une mesure qui devrait sacrément soulager les tensions : depuis mercredi dernier, les contrôles d’identité se doivent d’être filmés dans 23 zones de sécurité prioritaires du pays. Policiers et gendarmes sont dotés de pas moins de 2600 caméras, surnommées « caméras anti-bavures ». Parmi les 23 sites sélectionnés, figurent notamment des ZSP en Île-de-France, tout comme des départements comme la Haute-Garonne.
Ce n’est pour l’instant qu’une simple expérience, qui fait en outre l’objet d’un décret en cours d’examen par le Conseil d’Etat. Mais c’est selon moi une mesure plus que salutaire. Ce principe est à l’oeuvre depuis un bout de temps chez nos voisins, et a carrément montré son importance. L’objectif de ces enregistrements est d’apaiser les personnes dans le cadre d’une intervention : les représentants de l’ordre peuvent ainsi fournir la preuve qu’ils ont respecté la procédure, et les citoyens sont en mesure de prouver leurs dires si un abus est commis. C’est vraiment un système gagnant-gagnant pour les deux parties. Last but not least, ce système permet d’éviter de longs rapports écrits, ce qui réduit énormément la lourdeur administrative.Au terme de cette expérience, les forces de l’ordre fourniront un rapport mesurant l’impact de cette procédure sur le bon fonctionnement des interventions. Si ce dispositif est étendu au niveau national, des scandales comme celui de Théo le mois dernier ne devraient donc plus faire la une de l’actualité. Voilà au moins une chose qu’on ne retirera pas à ce gouvernement. D’autant que Bruno Le Roux a d’ores et déjà annoncé que le nombre de caméras allait être doublé dans les mois qui viennent.

Le revenu de Mr Benoit Hamon

Le candidat Benoit Hamon propose d’affecter un revenu d’existence de 750 euros par mois sans préalable, spécialement de revenu, graduellement à toute la communauté. Sa dépense annuel à terme atteindrait 600 Md€, ce qui représente les trois quarts des dépenses publiques. Le revenu d’existence a été suggéré par des économistes que nombreux qualifieraient d’ultralibéraux, régulièrement en l’associant à une taxe corrélatif au revenu pour le régler. Une contribution sociale généralisée au taux de 38 % saurait en conséquence rétribuer une dépense de 850 milliards d’euros. Ce principe, revenu et une recette relatif, légaliserait, selon ses initiateurs, un plan de vie à minima à chaque Français tout en l’engageant à travailler plus que dans le fonctionnement présent. En conséquence, chaque argent supplémentaire obtenu par son boulot lui ramènerait 0.63 euros après impôt alors que, à présent, il gagne en net seulement 0.43 euros généralement, parce qu’il observe amoindrir ses prestations sociales et accentuer ses taxes et cotisations. Pour ces spécialistes, ce revenu universel remplacerait la majorité des allocations sociales et des services publics dont l’utilisation est individualisable. Chacun percevrait le minimum nécessaire pour vivre, le compléterait par une activité professionnelle, le consommerait pour des prestations de son choix et s’assurerait de façon autonome contre tous les risques, particulièrement les actuels risques de retraite. Le total des fournitures sociales approchant à peu près 800Mrds d’euros, le revenu universel n’envenimerait de ce fait pas les charges sociales et saurait être financé sans alourdir les charges obligatoires. Il faudrait simplement substituer certains d’entre eux, surtout les cotisations, par une charge généralisée à 39.5 %. Le public cesserait d’ intervenir pour proposer des services aux français. Les conséquences de la constitution d’un revenu d’existence sur la rentabilité des acteurs économiques, l’attractivité du territoire, la participation et l’emploi, ou aussi la fraude aux impôts et sociale, seraient considérables. Ce n’est inévitablement pas la folie d’Hamon, qui n’a pas affirmé l’élimination de prescriptions étatiques. Il est possible de seulement concevoir que le revenu universel intervertirait les seuils sociétaux (à peu près 27 Mds €) et les allocations familiales (12 Mds Euros), chaque enfant y assignant droit, néanmoins ces diminution de charges ne changeraient pas la nature des difficultés : il faudrait hausser les prélèvements obligatoires d’à peu près 515 Milliards Euros, donc de 54.5 %. Les conséquences de la mise en place d’un revenu universel sur la rentabilité des acteurs économiques, l’attractivité du lieu, la participation et l’emploi, ou davantage la fraude à l’impôt et sociale, deviendraient désastreuses.

Chute libre…

Hier, j’ai relevé un pari de taille : j’ai accompli un premier saut en parachute. Un fantasme totalement fou dont on rêve le plus souvent sans oser se lancer. En même temps, le postulat d’une telle expérience est un peu étrange : se propulser dans le vide depuis un plongeoir situé à 4000 mètres de hauteur ! Bref, en ce qui me concerne, ça s’est déroulé à l’aérodrome de Soulac. On m’a mis d’emblée dans le bain : je venais à peine d’arriver que le directeur technique m’a fait signer plusieurs décharges avertissant que ni moi ni ma famille ne peut incriminer l’association en cas de décès. Charmant, j’aurais préféré un cocktail de bienvenue. Ensuite, direction les vestiaires où j’ai enfilé mon harnais et mis mes lunettes de saut en compagnie des autres participants. Puis on est partis à bord d’un minuscule Cessna. A huit dans la cabine, on était comme des sardines dans leur boîte, presque pressées d’être mangées pour avoir un peu plus d’espace. Mais après vingt minutes de vol, on a atteint la zone de largage. Un moniteur a dit que c’était le moment d’y aller et un autre a ouvert la porte. Il était temps de sortir de sa boîte ! Un premier tandem a sauté dans le vide pour devenir en une seconde un point insignifiant. Je les ai regardés sauter, une boule dans la gorge en voyant la file d’attente fondre devant moi. Puis ça a été mon tour. Je me suis retrouvé face au vide, j’ai pris une grande inspiration et on a sauté. Comme ça, sans frioritures. Pendant les premiers instants, je n’ai pu m’empêcher de fermer les yeux. Il faut dire qu’on valsait dans tous les sens et il était difficile de dire où se trouvait la terre. Puis on s’est stabilisés et l’ivresse a été absolue. J’ai regardé le gars qui filmait et qui avait sauté juste après nous et j’ai fait un signe. On filait à 200 km/h et le vent sifflait à mes oreilles ! Soixante secondes de bonheur à l’état pur que je n’oublierai jamais. J’ai vécu de nombreuses expériences extrêmes au fil des années, mais aucune ne ressemblait à ce vol. Si vous avez le coeur bien accroché, ne restez pas bêtement au sol ! Je vous mets en lien site où j’ai trouvé mon baptême de saut en parachute à Soulac.

11899561_464434197069583_1745495606_n