Avicenne, philosophe islamique perse, a été chargée de faire connaître à Aristote travaille dans la conscience plus large dans l’ère post-classique. Il est à l’origine d’un ver- sion de l’argument de première cause pour l’existence de Dieu. Avicenne était aussi largement respecté à son époque pour ses écrits médicaux, et son manuel, Le Canon de La médecine, est restée un travail standard jusqu’au 17ème siècle. Né près de Boukhara en Ouzbékistan de nos jours en 980, Avicenne avait mémorisé le Coran à l’âge de 10 ans et à 21 ans était un intellectuel bien équilibré, accompli dans tous les domaines d’apprentissage, y compris la médecine, les mathématiques, la musique, l’astronomie et logique. Avicenne a vécu à une époque mouvementée, lorsque les forces turques se battaient pour dominance en Asie centrale. Dans le même temps, les dynasties iraniennes locales luttaient Gling pour obtenir l’indépendance de la dynastie musulmane centrale, les Abbassides califat, qui était basé à Bagdad en Irak. Malgré le fait de devoir déménager de ville en ville dans le Khorasan (nord-est Iran et western moderne Afghanistan) pour gagner sa vie en tant que médecin et administrateur, Avicenna réussi à poursuivre ses activités intellectuelles et écrit environ 200 traités ainsi plusieurs œuvres majeures, dont les plus connues sont le Kitab ash-shifa (Livre de Guérison) et al-Qanun fi at-tibb (Le Canon de la médecine). Les principales contributions d’Avicenne étaient en médecine et en philosophie. Raison et la réalité était au centre de sa philosophie. Il a souligné l’importance de gagner connaissance. Il croyait que, par la raison, il était possible pour un individu de progresser à travers différents niveaux de compréhension et finalement atteindre la vérité à propos de Dieu, l’objet ultime de la connaissance. Avicenne considérait que Dieu, l’origine nateur de l’existence, c’est un intellect pur. Avicenne était à la fois médecin et philosophe. Dans ce bois du 15ème siècle coupé, il examine un échantillon d’urine pour établir un diagnostic. En tant que musulmane, Avicenne a tenté d’intégrer des éléments d’Aristote et de De Platon philosophie avec sa croyance en Dieu en tant que Créateur. Dans ce domaine, il a quitté Pensée classique. Avicenne a abordé le sujet central de la métaphysique: l’existence tence de Dieu. S’appuyant sur les idées de Platon, il a distingué l’essence et l’existence. L’essence est la nature des choses, alors que leur manifestation physique est séparé. Par exemple, l’essence d’un «cheval» ou d’une «pierre» n’implique pas qu’un un cheval ou une pierre existe. L’existence doit avoir été créée par une nécessité essence qui elle-même n’est pas causée. En d’autres termes, pour que le monde matériel ait naître, un autre facteur doit en être la cause; à son tour, un autre facteur doit ont apporté ce facteur à l’existence. Avicenne a proposé qu’une cause essentielle et son effet ne peut pas faire partie d’une chaîne infinie. Il doit y avoir une cause première, et cela c’est Dieu. Dieu est l’existant nécessaire, et le monde a émané de lui. Dans ce Avicenne croyait avoir prouvé l’existence de Dieu.