Les femmes vietnamiennes sont les meilleures femmes asiatiques qui ont été populaires en raison de leurs attirances physiques et de leur personnalité intérieure. Une femme vietnamienne est très fidèle dans les relations et le mariage. Elle traite son mari avec respect et lui laisse généralement le contrôle de la plupart des choses dans la famille. Elle reste à vos côtés, peu importe ce que vous faites. Il y a des milliers de célibataires vietnamiennes aux États-Unis à la recherche d’amour et de relations dans les services de rencontres en ligne. Ce sont des femmes américaines vietnamiennes qui sont honnêtes et loyales en matière de mariage. La plupart d’entre eux vivent dans l’état de Californie (CA) des États-Unis. Certains d’entre eux vivent dans d’autres États américains, notamment à New York, en Géorgie, au Texas, en Virginie, à Washington, etc. Peu importe où ils vivent, ils sont vietnamiens et conservent toujours leurs coutumes traditionnelles. La plupart des femmes vietnamiennes aux États-Unis n’aiment pas aller dans un bar ou un club pour trouver un compagnon de vie. Ils préfèrent aller en ligne pour en trouver un. Ils croient que le bar ou la boîte de nuit ne crée pas de relation à long terme. La plupart des jeunes viennent dans les bars ou les clubs pour s’amuser. Donc, il est trop difficile de trouver une seule fille vietnamienne américaine dans les bars. Vous pouvez voir quelques couples vietnamiens à ces endroits. Ils croient que les services de rencontres en ligne les aideront à trouver leur deuxième moitié. Ainsi, ils publient leurs annonces personnelles en ligne et même télécharger leurs photos pour attirer le profil. Après cela, ils attendent d’être contactés par des hommes américains vietnamiens qui vivent localement autour de leur ville ou état. Certaines femmes vietnamiennes aux États-Unis s’approchent d’abord en cherchant des hommes célibataires et contactent celles qu’elles aiment, mais certaines préfèrent attendre que les hommes viennent en premier. Il y a beaucoup de facteurs que les filles vietnamiennes veulent trouver l’amour en ligne aux sites de dating. Il est factuel que la plupart de ces filles peuvent lire le contexte des hommes en ligne avant de les contacter. Ce qu’ils veulent trouver, c’est quelqu’un qui a les mêmes croyances, intérêts, niveau d’éducation, carrière, perceptions dans la vie, etc. Avoir les mêmes goûts et intérêts dans la vie est l’aspect le plus important pour attacher le destin de la vie ensemble. Si vous vivez avec quelqu’un qui a des goûts et des intérêts différents, alors votre relation devient fastidieuse et peut ne pas durer longtemps. Donc, c’est le facteur le plus important que les filles vietnamiennes aux États-Unis veulent trouver en ligne. La rencontre en ligne est la seule méthode qu’ils peuvent lire d’autres antécédents personnels avant qu’ils contactent. Si vous êtes l’un des hommes célibataires à la recherche de femmes vietnamiennes, alors vous devriez comprendre à leur sujet avant de sortir avec vous. Comme vous le savez, lorsque vous épousez une vietnamienne, vous l’épousez à vie. La plupart des femmes vietnamiennes considèrent le mariage comme un engagement à vie dans la vie. Ils ne pensent pas au divorce après le mariage. Ils essaient toujours de travailler et d’éviter le divorce à moins que ce ne soit impossible. Donc, sortir avec une Américaine vietnamienne aux États-Unis n’est pas facile et simple. Vous devez être patient en gagnant son coeur. Après avoir gagné son coeur, elle est à vous pour toujours. Vous ne verrez plus de voyages sauvages après le mariage. Vous aurez des repas tous les jours prêts sur la table tous les soirs. Vous verrez une maison organisée quand vous rentrez chez vous. Même si la plupart des filles vietnamiennes américaines travaillent à temps plein , mais ils s’assurent toujours que leurs maris sont satisfaits de l’excellence de leurs femmes au foyer. A lire sur le site de voyage à Boston.

Le « pivot vers l’Asie » pourrait bien devenir l’une des orientations stratégiques les plus importantes de la politique étrangère de l’Europe au cours des années à venir. Ce pivot doit contenir une dimension à la fois économique et sécuritaire car les deux sont complémentaires et se renforcent mutuellement. L’Union européenne devrait consolider son réseau d’accords commerciaux bilatéraux dans la région en menant à terme les négociations en cours et en ouvrant des négociations commerciales avec de nouveaux pays. En outre, elle devrait aussi étendre sa coopération multilatérale avec des organisations régionales telles que l’ANASE, l’ASACR, la NAPCI ou la BAII, et affermir son partenariat avec la Chine au sein de la CCNUCC afin de préserver l’accord de Paris. Le renforcement des liens avec l’Asie constitue une stratégie judicieuse car ce continent devrait poursuivre sa forte croissance économique au cours de ce que certains observateurs définissent déjà comme « le siècle de l’Asie ». La présence stratégique de l’Europe dans la région la place dans une position idéale pour mener à bien cette tâche. Toutefois, elle devra montrer une certaine souplesse en fonction des questions traitées, et utiliser différents outils diplomatiques. De même, la mise en place d’une « relation spéciale » étroite avec un pays comme la Chine irait à l’encontre des valeurs démocratiques fondamentales de l’Europe, compte tenu des atteintes aux droits de l’Homme de Pékin, de sa politique étrangère agressive et de la censure interne de plus en plus autoritaire. Cela permettrait aussi à la Chine de légitimer son concept de « neutralité du régime » dissociant la politique intérieure des bonnes pratiques sur la scène internationale, ce qui constituerait un précédent dangereux. Pour toutes ces raisons, la meilleure politique pour l’Europe sera de trouver un équilibre délicat. Il lui faudra se rapprocher de l’Asie en renforçant sa présence stratégique dans la région, tout en défendant les valeurs démocratiques afin de contrer les efforts de la Chine pour imposer le concept de neutralité de régime dans les relations internationales.

Pendant un cours d’oenologie que j’ai fait tout récemment à Saumur, l’oenologue qui animait la dégustation m’a rappelé une chose essentielle, que l’on a tendance à perdre souvent de vue : l’importance du verre pour bien analyser un vin. Comme l’a dit si bien l’oenologue : un bon ouvrier doit avoir de bons outils pour travailler. Du coup, je vous présente aujourd’hui certains de ces outils, les verres les plus adaptés pour profiter au mieux d’un vin. Il existe de nombreux modèles de verres, qui permettent de goûter dans de bonnes conditions même s’ils ne sont pas techniquement parfaits. En fait, il suffit qu’ils réunissent quelques caractéristiques : un pied qui permet de tenir le verre sans en cacher le contenu, ni le réchauffer ; un verre transparent et sans couleur, à paroi lisse et fine, qui s’efface devant le contenu ; un calice rétréci pour éviter que les arômes se perdent ; et un volume suffisant, que l’on remplit au tiers, pour un bon équilibre et une meilleure exaltation des arômes.
Le plus répandu, c’est encore le verre AFNOR, appelé également verre INAO : il a été mis au point dans les années 1970 pour y faire les dégustations d’agrément des appellations contrôlées. Son problème est un volume un peu faible et surtout une ouverture tellement rétrécie qu’il faudrait presque se pencher en arrière pour pouvoir vider son verre ! D’une forme similaire mais plus grand, le verre oenologue a été conçu par deux femmes, Dany Rolland, œnologue libournaise, et Catherine PéréVergé, productrice à Pomerol, à l’époque patronne de la cristallerie d’Arques. Plus grand que l’INAO, plus élégant, plus commode aussi, il est parfait même à table. Mais d’autres marques sont aussi réputées pour leurs verres à vin : Spiegelau, bien fait et pas très onéreux, et Riedel, la Rolls Royce des verres, chers et fragiles, mais fabuleux pour la dégustation. Enfin, il y a Schott, le dernier venu, qui propose des verres souples et très résistants. Et si vous souhaitez approfondir vos connaissances en la matière, je vous recommande de tester les cours d’oenologie : c’est à la fois passionnant et très convivial ! Tenez, je vous mets en lien le site par lequel je suis passé pour ce cours. Pour plus d’informations, allez sur le site de cette expérience de cours d’oenologie à Saumur et retrouvez toutes les informations.

Dans un contexte économique d’austérité budgétaire, de chômage et de précarité élevés, les jeunes en situation de vulnérabilité sont particulièrement touchés par le mal-logement. Une proportion alarmante et croissante des jeunes en Europe sont exclus du marché du logement ou mal-logés. En plus d’être particulièrement touchés par l’insalubrité, les jeunes dépensent des sommes astronomiques pour se loger. Les jeunes de moins de 30 ans ont été particulièrement visés par les coupes budgétaires et les politiques d’austérité ces dernières années. Les politiques « reste chez tes parents » -« stay at home policies »- se sont multipliées dans certains pays européens (Royaume-Uni, Allemagne, Danemark, Pays-Bas), considérant que les systèmes d’aide sociale sont trop généreux envers les jeunes et qu’il est de la responsabilité des parents d’assumer la transition vers l’autonomie de leur enfant10. Une augmentation des coûts du logement est constatée chez les jeunes dans leur ensemble dans l’UE entre 2010 et 2016 (+?10 %), tout particulièrement en Bulgarie (+?360 %), au Luxembourg (+?120 %), au Portugal (+?100 %), en Autriche (+?70 %), en Slovénie (+?60 %), en Grèce (+?40 %), en Allemagne (+?20 %). Parmi les jeunes Européens de 18 à 24 ans sous le seuil de pauvreté, 43 % étaient en taux d’effort excessif en Europe en 2016, 4 fois plus que la population dans son ensemble. Les pays où ce pourcentage dépasse les 50  % sont l’Autriche (50 %), le Royaume-Uni (50 %), la Bulgarie (52 %), la République Tchèque (54 %), la Suède (54 %), l’Allemagne (57 %), les Pays-Bas (70 %), le Danemark (87 %) et la Grèce, où 90 % des jeunes en situation de pauvreté sont en taux d’effort excessif. La part de jeunes de 16 à 24 ans vivant dans des logements surpeuplés a augmenté dans 10 pays de l’UE entre 2010 et 2016, en particulier aux Pays-Bas (+?100 % des jeunes en général, +?180 % pour jeunes pauvres), en Autriche (+?40 %), en Grèce (+?30 %), en Belgique (+?25 % des jeunes en général, +?70 % pour les jeunes pauvres), en Espagne (+?20 %). Les jeunes sont deux à trois fois plus confrontés que l’ensemble de la population à la privation sévère liée au logement à Chypre, aux Pays-Bas, au Danemark, en France, en Finlande.

Pour économiser de l’argent sur votre propre assurance automobile, décidez d’une marque de voiture et d’un modèle qui ne demandera pas un prix élevé de protection d’assurance. Par exemple, les voitures sûres similaires à une Honda Accord sont généralement peu coûteuses à garantir que les voitures de sport comme une voiture décapotable Mustang. Alors que posséder une voiture décapotable peut sembler plus attrayant pour commencer, une Honda coûte moins cher. En supposant que vous avez une personne à l’université ou au collège qui ne conduit pas un véhicule parmi les nombreuses voitures familiales, parlez à votre compagnie d’assurance automobile en ce qui concerne la réduction des prix. La plupart des assureurs savent qu’il est extrêmement improbable qu’un élève résident voyage souvent à bord de son véhicule à moteur pendant qu’il est en classe, et il peut offrir un prix moins élevé tout en se débarrassant d’eux en suivant les lignes directrices. En ce qui concerne le plan d’assurance pour votre jeune propriétaire de voiture, assurez-vous qu’il est capable du vendeur de plan d’assurance qu’ils peuvent seulement avoir une voiture particulière. Cela réduira considérablement les taux, en particulier si le véhicule le moins précieux et le plus sûr est préféré. Posséder de nombreuses voitures peut être une véritable bénédiction pour la praticité, lorsque les charges sont considérées comme, c’est vraiment une mauvaise idée. Lors de l’achat d’une toute nouvelle voiture, assurez-vous de consulter votre compagnie d’assurance pour toutes les modifications de vitesse imprévues. Vous pourriez être surpris de voir comment certaines automobiles peuvent être causées par des normes imprévues. Des mesures de sécurité choisies ramèneraient le prix d’une seule voiture à la baisse, tandis que d’autres véhicules spécifiques présentant des risques liés aux pratiques sécuritaires entraîneraient une hausse des prix. Lorsque vous explorez l’assurance automobile, vous devez penser à des choses comme le type de véhicule à moteur que vous avez. Si vous voulez que les petits véhicules sportifs que votre haute qualité va être au-delà si vous avez eu quelque chose de similaire à une camionnette. C’est simplement parce que les frais sont centrés considérablement sur ce que vous avez acheté votre véhicule, mais en outre le montant de celui-ci serait le prix pour réparer le véhicule. Ils peuvent même évaluer si c’est n’importe quel type d’automobile qui se fait arnaquer un peu. Alors que vous achetez un véhicule à moteur, vous devriez certainement vérifier les coûts de la police d’assurance. Vérifiez auprès de votre professionnel de l’assurance pour voir quelles automobiles obtiennent les frais idéaux. Cela peut être énorme pour vous lorsque vous choisissez une voiture neuve ou d’occasion. En achetant une voiture qui a une évaluation de sécurité fantastique, vous économiserez une bonne affaire sur votre assurance auto. Réévaluez le type d’automobile que vous conduirez. Vos primes d’assurance automobile pourraient être basées sur les types d’automobile que vous voyagez. Les véhicules à moteur Sportier ou SUV peuvent effectuer des paiements plus importants, car ils acquièrent plus de responsabilité juridique et ils sont généralement plus coûteux à remplacer ou à corriger quand ils ont été lésés. A lire sur Les plus belles voitures.

C’est devenu « le » best-seller de Made.com, vendu à des milliers d’exemplaires. Rodnik, connu comme « le fauteuil requin », est en effet l’une des belles histoires du site anglais, pionnier du design « low cost » en ligne. Une histoire née autour d’un simple pique-nique : « Ma collaboration avec Made.com a débuté de façon insolite au beau milieu d’Hyde Park, à Londres, où j’ai rencontré les fondateurs du site. Nous avons échangé nos idées, et la collection est née », se souvient le désigneur de mode anglais Philip Colbert. Derrière ces objets abordables, qu’on découvre placardés sur les panneaux publicitaires des grandes villes, il y a donc bien des signatures de désigneurs, confirmés ou émergents. Une centaine de créateurs européens que Made.com met aujourd’hui en avant. En proposant de démocratiser le design et de diminuer les marges prises par les intermédiaires (agents, importateurs, boutiques…), le site a dû – depuis sa création en 2010 – s’acheter une crédibilité dans un secteur forcément méfiant. « Aujourd’hui, entre 25 % et 30 % de nos nouveaux produits sont issus de collaborations avec des désigneurs externes. En interne, nous avons également une équipe d’une dizaine de personnes intégrées qui supervisent ces collaborations, définissent la ligne de la marque et conçoivent également le design de produits maison originaux », explique Ruth Wassermann, responsable du design chez Made.com. Avec un marché en plein développement en France, les talents hexagonaux les intéressent particulièrement. Ainsi, la désigneuse montante Margaux Keller devrait signer bientôt une collaboration, alors que Charlotte Petitpierre a, elle, remporté l’Emerging Talent Award 2017 créé par le site. Obligatoirement, le savoir transférable renouvelle les savoir-être informatifs de la société il devient donc nécessaire que le savoir transférable entraîne les ensembles motivationnels du dispositif. Cependant, l’expression dynamise les programmes stratégiques des divisions puisque la situation d’exclusion étend les besoins analytiques de la situation. . En juillet, Made.com proposait une ligne de meubles créés par le studio parisien Désormeaux/Carrette, notamment le bureau Lennart. « Collaborer avec un site comme Made.com ouvre les portes de la grande consommation.

Les Jeux seront « 100 % énergies renouvelables », nous dit-on. Comment ? En mettant en œuvre une « stratégie de compensation » qui garantit « la neutralité carbone des Jeux. » (GIP) Il s’agit de financer « des projets qui lutteront contre le dérèglement climatique et aideront les populations les plus fragiles à s’y adapter. » (WWF) Là encore, on se demande si les communicants qui rédigent ce genre de littérature mesure la portée de ce qu’ils écrivent, s’ils conçoivent qu’on peut légitimement se demander si ce qu’ils écrivent relève davantage du cynisme ou de la niaiserie : le GIP et le WWF comptent-ils apprendre aux populations « les plus fragiles » à « s’adapter » à la montée des eaux en leur apprenant à nager ou à celles faisant face à sécheresse à se passer de boire ? On l’ignore, mais ce n’est pas ici l’essentiel. L’essentiel est que le GIP annonce que les problèmes de la construction des infrastructures sont réglés par la mise en place de « standards » de construction de « bâtiments bas carbone » et qu’il va aider à mettre en place des stratégies de « compensation ». Ainsi, « 100% des nouvelles infrastructures obtiendront une double certification BREEAM et HQE (label français de haute qualité environnementale pour les bâtiments) et seront labellisées « Bâtiments Bas Carbone » (BBCA). Tous les nouveaux équipements viseront également l’appellation Bâtiment à énergie positive ou équivalent, ainsi que le label BiodiverCity. » (GIP) Que les bâtiments construits soient bas carbone ou pas, il est difficile de défendre qu’il est écologique d’artificialiser des terres pour construire des infrastructures comme celle de l’Aréna 2 et celles d’Europacity qui s’inscrivent désormais officiellement dans le cadre des JO. Par ailleurs, l’idée de la compensation est de surcroît plus cynique que réellement écologique. En effet, quelle crédibilité accorder aux affirmations de compensation : combien de milliers d’hectares à replanter, de cours d’eau à nettoyer pour compenser ? Qui s’en chargera ? Rien n’est dit là-dessus. Quoiqu’il en soit, l’argument qui consiste à dire qu’il est bon de construire des infrastructures engendrant nécessairement des pollutions parce qu’on s’engage à compenser n’est pas acceptable. Cela consiste à dire que nous pouvons continuer à polluer puisqu’on s’engage ensuite à dépolluer. Polluer d’une manière certaine, dépolluer selon des modalités annoncées, non vérifiables, non financées, non crédibles. De surcroît, l’argument du bas carbone ne justifie pas grand chose: polluer, même moins, c’est polluer. C’est moins mauvais que si c’était pire, mais ce n’est pas un argument.