L’audit juridique d’un site de vente sur internet, un prérequis indispensable

Lors de la création d’un site internet de vente en ligne, il convient tout particulièrement de s’interroger sur sa conformité juridique. Quelles sont les règles juridiques qui lui sont applicables ? En matière de commerce électronique ? En matière de protection des données à caractère personnel  ? En matière d’édition de site  ? Quelle responsabilité (responsabilité de plein droit de l’article L.221-15 du Code de la consommation) ? Chaque site internet doit veiller à respecter des obligations légales au risque de se faire sanctionner. L’audit juridique est ainsi un prérequis indispensable dans la mesure où il permet d’analyser les risques mais aussi les opportunités juridiques par rapport au Business Model développé. Tant le Code civil, le Code pénal, le Code de la propriété intellectuelle que le Code de la consommation sont des références essentielles lors du développement d’un site. Les mentions légales permettent tout d’abord d’identifier les responsables du site (article 19 de la loi du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique, LCEN). Elles doivent également respecter un certain nombre d’obligations énumérées à l’article L. 111-1  4e du Code de la consommation (cordonnées postales, téléphoniques, électroniques, activités…). Ainsi, en cas de non respect de ces mentions, l’auditeur pourra aussitôt apporter des modifications afin d’être en totale conformité avec la législation actuelle. Le e-commerce impose la rédaction de conditions générales de vente. L’audit juridique vérifiera ainsi le respect d’obligations telles que citées à l’article L. 113-3  du Code de la consommation ou encore l’article L.441-6  du Code de-commerce, notamment à l’aune des nouvelles versions des Codes civil et de la consommation. L’audit juridique du site doit donc être organisé de manière périodique. Par ailleurs, le contrôle de la conformité légale des données à caractère personnel collectées, traitées et archivées est devenu incontournable depuis la loi du 6 août 2004, modifiant la Loi Informatique et Libertés et bientôt le Règlement européen RGPD applicable en mai 2018. Le renforcement des peines et amendes liées au non respect des exigences en matière de données à caractère personnel, l’attribution d’un pouvoir de sanction à la CNIL (ex. : 45 000 euros d’amende à une banque pour entrave à son action, 5 000 euros d’amende à une étude d’huissier) démontre la volonté d’assurer une parfaite transparence dans le cadre de leurs pratiques tant commerciales que simplement techniques. Un audit, dans ce cas, permettrait de mettre le site en conformité en termes de déclarations, autorisations, procédures à mettre en place et éventuellement des conditions de licéité des traitements mis en place. S’agissant des cookies, l’audit juridique évaluera la nécessité d’avoir une politique d’utilisation des cookies. Si tel est le cas, des exigences juridiques s’imposeront encore au responsable du site qu’il conviendra de respecter. Enfin, concernant les droits de propriété intellectuelle, outre les droits sur les contenus publiés (dessins, signes distinctifs, textes, photos), il convient de ne pas omettre d’évaluer un certain nombre de risques juridiques liés à l’utilisation de licences de logiciels dits libres, la titularité des droits ainsi que les mesures prises pour la protection des droits. Enfin, l’audit doit aussi avoir pour objet d’analyser tous les contrats de l’entreprise avec ses partenaires publics et privés afin de détecter les risques potentiels : licences, accords de R/D… Là encore, une attention particulière devra être portée sur les cessions de droits et concessions (voir notamment l’article L. 111-1 du CPI).

Les possibilités de l’intelligence artificielle

L’histoire du progrès humain est un témoignage du désir fort que l’homme a toujours dû faire de sa vie plus confortable. Toute invention jamais conçue a été conçue pour rendre la vie un peu mieux. Des outils ont été faits pour chaque activité de l’agriculture, de la chasse, de la construction, du transport et même du divertissement. Le désir d’une existence plus facile pour quelques-uns a également conduit à quelques mauvaises idées telles que l’esclavage, la conquête militaire, la corruption et d’autres manières d’exploiter les gens. Bien que de nombreux outils et machines aient été inventés tout au long de l’histoire, ils ont surtout été utilisés pour étendre ou améliorer les capacités de la personne qui les utilise. Le désir ultime d’avoir aidés artificiellement et les compagnons et les tentatives de les créer ont une longue histoire. Nous avons maintenant de nombreuses machines et appareils mécaniques qui fonctionnent automatiquement avec des compétences humaines pour une large gamme de tâches de routine à la commande, Mais la fabrication d’une machine entièrement autonome qui ressemble à un humain n’a pas encore été réalisée, même si elle peut être plus proche que la plupart des gens imaginent. L’homme a commencé en inventant des outils, à partir d’outils développés et plus récemment dans l’histoire humaine, nous avons des machines à fonctionnement programmable. La prochaine étape est l’auto-ajustement, l’auto-adaptation et les machines reprogrammables pour réaliser la robotique objectif ultime: créer une machine qui a une capacité équivalente d’un être humain. Les raffinements de la technologie nécessaires pour créer un robot entièrement fonctionnel ne sont pas tant fondés dans le design physique mais plutôt dans le développement de l’intelligence artificielle (AI). Que les gens le réalisent ou non, nous sommes entourés d’exemples d’intelligence artificielle. Les services à la clientèle activés par la voix, le système GPS dans votre voiture, le système de planification de l’aéroport qui choisit la porte où votre débarquement débarquera lorsque votre avion atterrira, la plupart des jeux vidéo et même le logiciel pour écrire cet article contient une forme d’Intelligence Artificielle. À l’heure actuelle, nous sommes bien dans la période de l’IA étroite qui se réfère à l’intelligence artificielle qui remplit une fonction utile et spécialisée qui nécessitait autrefois l’intelligence humaine pour exécuter et exécuter ces fonctions au niveau humain ou mieux. Souvent, les systèmes d’isolement étroit dépassent largement la vitesse des humains et offrent la possibilité de gérer et de prendre en compte des milliers de variables simultanément. Le marché des applications Narrow AI en 2007 était estimé à plus de 21 milliards de dollars. Une petite liste de domaines où l’IA étroite est actuellement utilisée comprend Défense et intelligence Exploration de l’espace Médicament Sciences et mathématiques Entreprise La finance Fabrication Langue et discours Divertissement et sports Alors que Narrow AI donne aux machines la capacité d’effectuer des tâches spécifiques, ce qui est nécessaire pour développer et construire un robot qui fonctionne pleinement est une IA forte. Bien qu’il n’y ait pas d’accord total sur ce qui définit la IA forte, la plupart des chercheurs dans le domaine de l’intelligence artificielle conviennent que les propriétés de Strong AI devraient inclure les éléments suivants: « Capacité de raisonner, d’élaborer des stratégies et de juger dans des conditions incertaines «Capacité de représenter les connaissances, y compris les connaissances classées comme le bon sens « Capacité de planifier et d’apprendre « Capacité de communiquer en langage naturel « Capacité d’intégrer toutes les compétences ci-dessus Le développement dans le domaine de Strong AI s’appuie sur les outils de trois domaines principaux: d’abord, sur ce qui est actuellement connu du cerveau; Deuxièmement, sur la base des décennies de recherche menées dans l’IA étroite; Troisièmement, ingénierie inverse du cerveau. De nombreux outils ont été développés et émergent qui fournissent la résolution spatiale et temporelle nécessaires pour produire des données adéquates à partir d’une analyse et d’une détection extrêmement précises des neurones et des composants neuronaux. Pour un être humain, le processus d’apprentissage nécessaire pour maîtriser les connaissances nécessaires pour fonctionner dans n’importe quel domaine scientifique est des décennies. Pour un robot avec intelligence artificielle, l’apprentissage sera juste une question du temps requis pour télécharger les informations d’une machine à l’autre. Une fois qu’un niveau humain d’intelligence artificielle est atteint, les progrès technologiques dans tous les domaines seront accélérés à un taux exponentiel incroyable. Du point de vue physique, le développement d’un robot humain est beaucoup plus proche d’être réalisé. Dans de nombreuses représentations de robots dans la science-fiction, ils sont métalliques et gênants, mais la technologie actuelle existe déjà qui peut créer un robot apparaissant presque humain. Au Japon, un nouveau revêtement extérieur artificiel donne la sensation de peau humaine réelle en recouvrant un « derme » de silicone élastique de 1 cm d’épaisseur avec un « épiderme » d’épaisseur 0,2 mm d’uréthane ferme. D’innombrables petites entailles hexagonales gravées dans l’épiderme d’uréthane lui fournissent une texture très réaliste. D’autre part, les progrès de la technologie médicale créent de nombreuses pièces artificielles pour remplacer certaines de nos pièces biologiques usées ou brisées. Aujourd’hui, les remplacements au genou, à la hanche et à l’épaule sont fréquents. Les membres artificiels sont utilisés par beaucoup qui ont perdu leurs origines. Les progrès se poursuivront à un rythme rapide afin que dans un proche avenir, nous pourrons remplacer tout organe ou membre par un nouveau et amélioré. Certains scientifiques émettent l’hypothèse que toutes les informations et les souvenirs de notre cerveau pourraient être téléchargés un jour. Il semble possible qu’un jour nous puissions atteindre un point où la distinction entre humain et robot devient trop proche de se distinguer. Les robots ont longtemps été rêvés en tant qu’aides et compagnons pour améliorer la vie des humains. Est-il possible aussi que la direction involontaire de la robotique soit de ne pas remplacer les humains, mais peut-être la prochaine étape de l’évolution humaine? Plus d’information sur le thème en surfant sur le site de l’Agence SEO Lille.

Financer des médias anti-Russes

Un rapport de la commission consultative des États-Unis sur la diplomatie publique met en évidence la coopération du Département d’État américain avec des médias d’opposition russes. Vers de nouvelles révolutions de couleur? Soros verse 18 mds USD à Open Society La commission consultative des États-Unis sur la diplomatie publique près le Département d’État américain a publié son rapport annuel sur la diplomatie publique américaine en 2016. Le texte précise les formats de la coopération entre les médias indépendants russes et le holding Voix de l’Amérique (le service de diffusion internationale par radio et télévision du gouvernement américain). Le holding médiatique russe RBC et la chaîne de télévision Dojd (TV Rain), par exemple, coopèrent avec la Voix de l’Amérique depuis 2013. RBC utilise des produits de la Voix de l’Amérique, notamment des informations politiques, alors que le service russe de ce dernier a pour tâche de «faire face à la campagne de désinformation du Kremlin et à la promotion de valeurs antiaméricaines et anti-occidentales».  La commission consultative, quant à elle, présente ses rapports au Président, au Congrès et au Département d’État, représentant de fait une subdivision de ce dernier. Son principal produit est un rapport annuel sur les dépenses consacrées à la diplomatie publique et à la diffusion d’informations à l’étranger en tant qu’instruments du «pouvoir de convaincre» des États-Unis. Le coût total des programmes couverts dans le rapport de la commission se monte à environ 1,8 milliards de dollars. La Russie, à savoir son «agression contre l’Ukraine, sa désinformation et sa propagande» est considérée comme une menace réelle pour l’Eurasie et surtout les alliés des États-Unis en Europe. La diplomatie publique américaine est dirigée contre la Russie et s’effectue notamment à l’intérieur de celle-ci. Par exemple, plus de 9,7 millions de dollars ont été investis en 2016 en Russie, un chiffre record pour la diplomatie publique américaine dans la région «Europe et Eurasie». L’Ukraine, qui vient en deuxième position, a reçu 7 millions de dollars.

Le défi des inégalités

A partir de 2002, la part des personnes en situation de pauvrete est repartie a la hausse pour atteindre 14,1 % en 2010, soit une progression de 1,2 point en 8 ans. Les situations de pauvreté se sont en particulier multipliées avec la crise de 2008, se traduisant par un accroissement des inégalités de niveaux de vie, notamment du fait d’une hausse du chomage qui a davantage touche les moins favorises. Une action du Gouvernement etait donc necessaire afin d’inflechir cette evolution, notamment chez les jeunes. La priorité donnée au redressement des comptes publics dès 2012 s’est faite dans un souci constant de justice sociale. Cela s’est traduit par un effort des menages a plus hauts revenus, certes consequent, mais qui a permis de preserver autant que possible le pouvoir d’achat des menages les moins bien lotis et des classes moyennes, qui subissaient par ailleurs plus que les autres la hausse du chomage. Tout au long du quinquennat, les mesures fiscales et sociales se sont concentrées sur l’amélioration des conditions de vie des ménages aux revenus modestes et moyens. Ainsi, comme cela est detaille dans le dossier thematique intitule « Bilan redistributif 2012-2017 », l’ensemble des mesures portant sur la fiscalite et les prestations sociales, prises entre 2012 et 2017, auront preserve le niveau de vie des menages appartenant aux 6 premiers deciles de revenu. Les gains auront en outre ete substantiels pour les 10 % les plus pauvres (+ 4,7 %). Un effort aura ete demande aux plus hauts revenus mais celui-ci n’aura que moderement pese sur leur niveau de vie (1,7 % pour le dernier decile). Cette action en faveur de la justice sociale a été menée en particulier au moyen de l’impôt sur le revenu. En debut de quinquennat, le choix a ete fait de demander un effort aux menages les plus aises, principalement ceux qui appartiennent au decile de revenu le plus eleve, avec le plafonnement des avantages familiaux, la creation de la tranche a 45 % et l’alignement de la fiscalite sur les revenus du capital. En parallele, les reformes successives du bareme depuis 2014, concentrees entre le 4e et le 8e decile des revenus, ont fait baisser l’impot acquitte par les classes moyennes.

Social Networking au Danemark

Dernièrement, j’ai assisté à un congrès à Copenhague au cours duquel la question du social networking a été longuement évoquée. Celui-ci est, en tout état de cause, un outil délicat à manier, et il est parfois bien difficile pour la marque de maintenir son image. Dès lors qu’un internaute fait preuve d’agressivité envers elle, c’est la panique ! Mais ce qu’on a aussi tendance à oublier, c’est que le social networking s’inscrit dans le marketing, et qu’il est donc parfaitement calibré pour résoudre ce type de problème. Mais il faut pour ce faire être capable de communiquer et suivre certaines règles pour enrayer le buzz négatif. Avant tout, les interventions des clients ne doivent en aucun cas être retirées, y compris (et peut-être même surtout) les dénigrements. La censure de l’internaute n’aboutit qu’à une chose : rendre ce dernier plus remonté… et plus dangereux. D’autant qu’il est rarement seul. L’homme préférant généralement dynamiter que préserver, ce dénigrement peut facilement être soutenu par le groupe, et l’enchaînement peut parfois se répandre comme un feu de paille. La seule réponse pertinente à apporter à de telles remontrances reste le dialogue, encore et toujours. Cela dit, rien ne dit que le débat doive systématiquement être public ! Il ne faut pas ignorer les bienfaits de la discussion privée. Quand il n’a plus son public pour envenimer les choses, la discussion peut être bien plus posée, sereine, et efficace. Dialoguer directement avec la personne est un moyen efficace de ne pas ébranler les autres publics. Pour finir, la réaction de la marque, que ce soit en cas d’erreur ou de problème attesté et avoué, doit être attentionnée et explicative, mais elle doit surtout amener à ce qu’une solution soit apportée au litige. Même si on a tendance à l’oublier un peu facilement, Il s’agit bien en définitive d’une relation commerciale et la marque doit bien échanger et s’expliquer pour pouvoir commercer. Le web social est un lieu de dialogue, et c’est là que se forge dorénavant pour l’essentiel l’image de marque. Ces comportements sont à première vue une évidence, mais je découvre cependant continuellement que des marques n’ont pas su faire convenablement face à un dénigrement sur le web. C’est un peu ce qu’a mis en évidence ce congrès à Copenhague: ce social networking est devenu une composante importante de notre société, mais cela ne veut pas dire que les marques s’en soient véritablement emparés… Pour plus d’informations, allez sur le site de l’organisation du séminaire entreprise à Copenhague et retrouvez toutes les infos.

Poutine est fier de ses agents

Le président russe Vladimir Poutine a fait l’éloge samedi des agents de renseignement clandestins, des « personnes pas comme les autres » dont le dévouement à la patrie est exemplaire. « Renoncer à sa vie, à ses proches et quitter son pays pour beaucoup d’années, en consacrant sa vie à la patrie, tout le monde n’est pas capable de faire cela », a déclaré l’ex-agent du KGB, 64 ans, dans des propos retransmis sur la chaîne publique Rossia 1. « Ce sont des personnes pas comme les autres, qui ont des qualités pas comme les autres, des convictions pas comme les autres, un caractère pas comme les autres », a-t-il estimé, précisant que son travail pour le service de renseignement extérieur à l’époque soviétique avait été lié « notamment au renseignement clandestin ». « Ce sont des personnes uniques. Je leur souhaite du bonheur et de la prospérité », a ajouté le président russe. Lui-même ancien membre du Service de renseignement extérieur (SVR) du KGB, Vladimir Poutine a été en poste à Dresde, en Allemagne de l’Est, alors au sein du bloc socialiste, entre 1985 et 1990, selon sa biographie officielle publiée sur le site du Kremlin. « Même avant de terminer ma scolarité, j’avais déjà envie de devenir agent de renseignement », avait confié M. Poutine dans cette biographie, précisant avoir fondé son opinion sur le KGB « sur la base des récits romantiques sur le travail des agents de renseignement ».

Trump et la Russie

Donald Trump a demandé en mars à deux responsables du renseignement américain de l’aider à contrer l’enquête du FBI à son encontre à propos de liens entre son équipe de campagne et la Russie, selon le Washington Post lundi. Le quotidien affirme que le président américain a demandé à Mike Rogers, directeur de l’Agence de sécurité nationale (NSA), et à Dan Coats, directeur du Renseignement américain, de nier publiquement qu’il existe des preuves de collusion entre son équipe et la Russie durant la campagne de l’année passée.  Citant des responsables du renseignement actuels et passés, le Washington Post précise que les deux hommes n’ont pas répondu aux souhaits de M. Trump.  Ce dernier a effectué ces demandes à MM. Rogers et Coats (qu’il a lui-même nommé) après les révélations du directeur de la police fédérale (FBI) de l’époque, James Comey, selon lesquelles ses services s’intéressaient à l’ingérence russe dans les élections, enquêtant sur des faits remontant à juin 2016.  La semaine passée plusieurs médias américains ont rapporté que M. Trump avait demandé à James Comey lui-même dans des réunions et par téléphone d’abandonner cette enquête. Des affirmations niées farouchement par la Maison Blanche.  Mais ces demandes avaient été consignées par M. Comey, renvoyé il y a deux semaines, dans ses compte-rendus écrits des réunions qu’il avait eu avec le président.  Dès le mois de février, le milliardaire républicain avait demandé à plusieurs élus et responsables du renseignement de contacter des journalistes pour leur dire qu’il n’y avait aucune preuve de liens entre la Russie et la campagne électorale.

Jeudi dernier, j’ai réalisé lors d’un vol voltige aérienne. Une expérience que je rêvais de faire depuis un bout de temps, mais que je renvoyais tout le tempssaint-glinglinJusqu’ici. L’expérience a eu lieu à l’aéroclub, en compagnie d’un pilote : Eliott. Il a commencé par me faire découvrir notre appareil (un un Cap 10Bceux qui connaissent), avant de me faire enfiler le parachute comme un sac à dos. Puis on a décollé pour 20 minutes de folie dans les hauteurs. J’ai pu sentir mon coeur entre loopings, vrilles et autres atrocitésIl me semble même avoir prononcé quelques noms d’oiseaux au passage. Pas grave, le pilote y était visiblement habitué à cette réaction. A partir d’un moment, j’ai commencé à me sentir indisposé, et Luca a voulu ralentir la cadence. Mais mon estomac ne l’entendait pas de cette oreille et j’ai dû faire appel au petit sac à vomi qu’on m’avait charitablement livré juste avant le vol. Mon arrogance m’a encore une fois été fatale : je n’aurais pas dû dire que ça allait bien quand je sentais mon déjeuner par l’entrée. L’usage de ce sac est loin d’être obligatoire, en réalité. Samuel se calque sur les attentes de la personne pour qu’il ressorte en forme. Comme il le dit lui-même après l’atterrissage: l’objectif n’est pas tant de retourner les gens lors du vol que de leur faire ressentir les joies de la voltige aérienne. Le but n’est en aucun cas de vider l’estomac. Ceci dit, cette mésaventure reste anecdotique et ne gâche en rien l’expérience. Au cours des manoeuvres, les figures m’ont fait découvrir les sensations qu’on subit entre -3,5G et 5,8G. Pour ceux qui ne connaissent pas, cela signifie qu’à la vitesse maximale, nous pesions 5,8 fois notre poids habituel ! Je vous laisse deviner les impressions que cela fournit. Mais le plus dur, c’est tout de même quand on est en micro-gravité : ce sont elles qui rendent vraiment malade. Dans les phases d’accélération, ce que vous avez avalé avant le décollage reste là où il doit être. Alors qu’en micro-gravité, il a curieusement tendance à vouloir repeindre le cockpit. Pour couronner le tout, Vincent est allé jusqu’à me passer rênes de l’appareil pour l’espace d’un instant. J’ai ainsi pu effectuer un virage serré avant qu’on ne doive finalement retourner à l’aéroclub ! Je peux vous dire que ce feu d’artifice de sensations fortes a mis du temps à se calmer que quelques heures après avoir regagné la terre ferme. Si vous n’avez jamais essayé, je vous recommande vivement l’expérience. Les sensations sont extrêmes. En tout cas, si on me le reproposait, je foncerais sans hésiter (vous avez noté le message subliminal ?) ! Mais à jeûn, cette fois. Je vous mets le lien vers le site de mon vol de voltige aérienne. Ames sensibles s’abstenir !.Plus d’information est disponible sur le site de l’agence de voyage qui a organisé ce vol de voltige aérienne à Reims. Suivez le lien.

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Pénurie de volontaires chez les pompiers

Dans un contexte de risque élevé d’attaques terroristes, les pompiers, particulièrement ceux de Paris, déplorent une baisse des candidatures. En cause: la concurrence avec d’autres métiers en uniforme tels que la gendarmerie, la police ou encore l’armée. Être pompier ne ferait-il plus rêver les jeunes? C’est le constat de l’adjudant David Z., qui travaille au recrutement à la brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP). Entre les fins de contrat, les retours en province, les non-renouvellements, les besoins sont importants pour les pompiers de Paris. Pourtant, l’objectif d’atteindre 800 nouvelles recrues pour 2017 semble loin d’être atteint. «Il y a 2 ans, on avait 8 candidatures sur un poste, il y avait une liste d’attente et les candidats qui y étaient pouvaient attendre dix mois avant d’intégrer la brigade», explique David Z.. Aujourd’hui, ce taux est en baisse. Au centre de formation de la brigade au fort de Villeneuve-Saint-Georges, au sud de Paris, la problématique est prise au sérieux. Si plus de 70 jeunes n’ont pas hésité à marcher notamment sur les pas d’un père pompier et à incorporer la BSPP pour ses «valeurs d’aide, d’entraide, de respect», d’autres ont, eux, abandonné. Toutefois, atteindre ce Graal n’a pas été une mince affaire pour les nouvelles recrues. Thomas, informaticien de formation et «pas du tout sportif», confie à l’AFP n’avoir pas ménagé sa peine: «pour entrer à la brigade, j’ai perdu jusqu’à 15 kilos, j’ai fait un entraînement sur un an et demi». Pourtant, le capitaine Philippe M., adjoint au directeur du centre de formation, rappelle que la BSPP ne cherche pas des «surhommes», mais des compétences, de plus en plus étendues.

En avion de chasse

Nous vivons vraiment dans un monde de dingues, et j’hallucine chaque fois que je découvre la variété de divertissements qu’on nous propose aujourd’hui. Il y a quelques semaines encore, je me suis essayé à une activité carrément démente : j’ai fait un vol en avion de chasse à Pontoise. Vous vous rendez compte ? Même mon grand-père n’osait rêver pouvoir faire une chose pareille ! Cette expérience singulière m’a fait un peu cogiter sur l’évolution actuelle de notre société. C’est tout simplement énorme, d’observer comme notre société s’est transformée depuis le début de la révolution industrielle. Pour nos arrière-grands-parents, la vie se résumait essentiellement à travailler dans les champs. C’était une vie éreintante où la faim était une réalité quotidienne, et où l’on était traité comme un adulte dès l’âge de dix ans. Chaque déplacement se faisait à pied ou à dos de cheval, et prenait par conséquent un temps considérable. Les choses ont cependant bien changé, depuis cette époque : nous vivons aujourd’hui dans un luxe incroyable. Nous devons surveiller notre poids, partons en vacances régulièrement, avons accès au monde entier grâce au web. Nous prenons une soupe thaï pour le dîner, sommes entourés de gadgets électroniques, etc. Pratiquement tout ce que nous faisons est un luxe très récent, à bien y réfléchir ! L’homme a connu pendant des siècles une vie laborieuse, mais est passé (et ce, en un temps excessivement court) à une existence merveilleuse et somptueuse. Clairement, ce n’est pas encore le jardin d’Eden : la pauvreté existe encore. Mais nous devrions tout de même regarder notre existence et sa richesse, plutôt que de jalouser continuellement ce qui se trouve dans le champ du voisin. Nous sommes franchement chanceux d’avoir vu le jour à l’heure actuelle ! Qui aurait pu deviner, il y a quelques années à peine, que nous aurions la possibilité de réaliser un vol en avion de chasse, juste par envie ? Au fait, voici le site auquel j’ai fait appel, si vous voulez en savoir plus. Une précision importante, pourtant : même si ce vol est sans pareil, je le déconseille vivement aux personnes fragiles… A lire en détail sur le site du vol en avion de chasse.

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